L’haplogroupe du chromosome Y: R1b-DF27
Par Bernard Sécher
L’haplogroupe du chromosome Y le plus fréquent en Europe Occidentale est R1b-M269 dont la fréquence varie de 41% en Allemagne à 83% en Irlande.
Si vous n’êtes pas satisfait(e) des résultats ci-dessous, vous pouvez lancer une autre recherche
Par Bernard Sécher
L’haplogroupe du chromosome Y le plus fréquent en Europe Occidentale est R1b-M269 dont la fréquence varie de 41% en Allemagne à 83% en Irlande.
Par Bernard Sécher
L’homme moderne est arrivé en Europe il y a environ 45.000 ans. Il y a vécu depuis, notamment pendant le Dernier Maximum Glaciaire entre 25.000 et 19.000 ans lorsque l’Europe était recouverte en grande partie par la glace. Une question importante est comment les fluctuations climatiques ont influencé l’histoire de la population Européenne et à quel point les changements des cultures archéologiques correspondent à des migrations de populations.
Les Lombards
Derniers « Barbares » entrés dans le monde romain, ils ont cherché – et réussi – à préserver leur identité, d’une part en mettant par écrit leurs lois nationales au milieu du VIIe siècle, d’autre part en écrivant leur histoire : histoire mythique de leurs origines, au VIIe siècle, alors qu’ils n’ont pas encore complètement abandonné le paganisme ; histoire savante de leur royaume, désormais chrétien, à la fin du VIIIe siècle (Paul Diacre) ; histoire de leur survie dans le Midi après la conquête carolingienne, aux IXe et Xe siècles (Erchempert, Chronique de Salerne). L’archéologie témoigne de plus de leurs déplacements et de leurs contacts aux époques anciennes, tant avec les Romains qu’avec les peuples des steppes…
Par Bernard Sécher
Une étude récente des marqueurs génétiques uni-parentaux en Italie comprenant un millier d’individus a révélé que l’haplogroupe mitochondrial HV est celui qui possède les plus anciennes racines en Italie. Cette étude peut être rapprochée d’une autre qui a étudié l’ADN mitochondrial d’un squelette Mésolithique de Sicile vieux de 14.000 ans d’haplogroupe HV1. Ainsi cet haplogroupe semble être une composante cruciale des premières dispersions humaines en Eurasie. Il a cependant été peu étudié jusqu’ici mis à part ses sous-clades H, V et HV4.
L’Italie est un pays fascinant pour les généticiens de population et historiens. Comme l’a dit Metternich en 1847 « L’Italie est seulement une expression géographique ». La péninsule a été unifié par le Piémont deux décennies plus tard, mais la remarque de Metternich détient encore largement vrai aujourd’hui. Il n’y a pas un seul peuple italien, mais une multitude de groupes ethniques et culturels, souvent avec une histoire indépendante de leur propre remontant à l’Antiquité.
Une étude récente des marqueurs génétiques uni-parentaux en Italie comprenant un millier d’individus a révélé que l’haplogroupe mitochondrial HV est celui qui possède les plus anciennes racines en Italie. Cette étude peut être rapprochée d’une autre qui a étudié l’ADN mitochondrial d’un squelette Mésolithique de Sicile vieux de 14.000 ans d’haplogroupe HV1. Ainsi cet haplogroupe semble être une composante cruciale des premières dispersions humaines en Eurasie. Il a cependant été peu étudié jusqu’ici mis à part ses sous-clades H, V et HV4.
Si de nos jours seule l’espèce Homo sapiens est présente sur Terre, les études paléoanthropologiques montrent que plusieurs espèces du genre Homo ont existé par le passé, et sur des périodes de temps qui parfois se recouvrent.
Origines L’haplogroupe I est le lignage paternel majeur le plus ancien d’Europe et probablement le seul qui y nacquit (mis à part le très rare haplogroupe C6 et les sous-clades profondes d’autres haplogroupes). On pense que l’haplogroup I serait arrivé du Moyen Orient sous la forme de IJ il y a entre 40.000 et […]
Par Bernard Sécher
Stefania Sarno vient de publier un nouveau papier sur la génétique de l’Italie intitulé An Ancient Mediterranean Melting Pot: Investigating the Uniparental Genetic Structure and Population History of Sicily and Southern Italy.
Par Bernard Sécher
Voici une seconde étude sur la génétique de la population italienne après celle de Alessio Boattini. En réalité, cette nouvelle étude date d’il y a un an, mais vient d’être corrigée. Elle est signée Francesca Brisighelli et est intitulée: Uniparental Markers of Contemporary Italian Population Reveals Details on Its Pre-Roman Heritage.