forgeron

gardien, tuteur

huissier

cultivateur

Elle naît du parrainage d’un enfant. Le cas le plus fréquent est celui d’un veuf (ou d’une veuve) voulant épouser la marraine (ou le parrain) de son enfant. L’empêchement subsiste après le décès de l’enfant.

Il s’agit du même cas que l’affinité mais le lien n’a pas été au delà des fiançailles, comme par exemple un homme qui épouse une femme aprè avoir été fiancé à sa soeur

voir Honnêteté publique
L’un des fiancés est veuf. Son conjoint est consanguin avec l’ancien conjoint, comme par exemple « du 1 au 2 » le veuf épousant sa nièce par alliance.

DROIT
A. Être de la compétence*. Cette affaire ne compète point à tel tribunal (Ac. 1798-1932).
B.− Appartenir, revenir à quelqu’un en vertu d’un droit. [Le] pouvoir qui compète aux seigneurs territoriaux, en vertu des lois de l’Empire (Le Moniteur, 1789, p.337). Actions en pétition d’hérédité et d’autres droits, lesquels compéteront à l’absent ou à ses représentans ou ayant-cause (Code civil,1804, art. 137, p. 29) – source CNRTL

L’amodiateur est un officier de la terre. Son rôle est d’affermer (fixer les montants des fermages) les revenus de la seigneurie pour une durée de 3 ou 6 ans, éventuellement renouvelable. L’amodiation supposait une connaissance approfondie de la richesse d’un fief, pour fixer un niveau d’enchère (augmentation) procurant un bénéfice raisonnable. Les procès résultants des contestations étant à la charge des amodiateurs, ceux-ci étudiaient les vieux terriers (livres d’inventaire des terres) pour en tirer d’anciennes taxes ou dîmes oubliées, destinées à compenser leurs frais. Ces terriers furent souvent brûlés à la Révolution, car ils symbolisaient la pression fiscale féodale. (*) source Wikipedia

acte authentique notarié dont l’original dépourvu de la force exécutoire, est remis aux parties et non conservé par le notaire contrairement à un acte en minute.