Système de numérotation permettant d’identifier les descendants d’un ancêtre commun.
Vers 1940, Jacques d’Aboville a mis en place une méthode de numérotation descendantes à partir du système Henry, en le perfectionnant. La numérotation d’Aboville est très utilisée, principalement en France et au Portugal.

Anciens noms : Bardonisca (XIe siècle), Bardonesca (1148), Bardonecchia (1365) Bardoneschia encore au XVIIIe siècle. Forme française jusqu’à la fin du XIXe siècle : Bardonnêche, Bardonnèche, Bardonnesche et Bardonnanche.
Frazioni : Les Arnauds, Melezet, Millaures, Rochemolles. Casalis 1834 page 141 – Gasca Queirazza 1997 page 62 – Olivieri 1965 pages 84 & 207.

Par résolution du 4 Juin 1937, le préfet de la ville de Bardonecchia décide de changer les noms Les Arnauds, Melezet, Millaures et Rochemolles, touchés par l’influence de la langue étrangère avec les formes respectives linguistiquement et phonétiquement italienne, à savoir : Arnaudo, Melezetto, Milleaure et Rocciemolli.

Le 18 juin suivant, la résolution reçoit l’approbation du recteur administration de la province, avec la réserve que le nom du hameau Les Arnauds doit plus précisément être réduit sous la forme italienne correspondant de Arnaudi, au lieu de Arnaudo .

ou bailliage – En 1273, Haguenau devient le chef-lieu administratif des biens impériaux en Alsace. La ville est alors occupée par un grand-bailli qui réside au château abandonné en 1250 à la fin de la dynastie des Hohenstaufen. C’est la naissance du Grand-Bailliage d’Alsace ou Grand-Bailliage de Haguenau.
À cette date, le Grand Bailliage comprenait la forêt de Haguenau avec ses monastères et les villages impériaux. Ces derniers étaient au nombre de cinquante environ.
source Wipidepia

Revenu d’une propriété attribué au curé désigné par les héritiers pour un service déterminé, messes, anniversaires, etc

Héritiers directs. On trouve la mention sans hoirs ou s.h. dans des généalogies, ce qui signifie que la personne n’a pas d’enfant – Voir Postérité

Ensemble des descendants d’une personne. Lorsque la personne n’a pas de descendant, on indique sans postérité ou s.p.  – Voir Hoirs

Tag _IMPLEXE (auteur : Alain Quincerot, contributeur Ancestris)

Le nombre d’implexes de chaque individu est généré lorsqu’il apparaît plus d’une fois dans l’ascendance.
Le format du tag est nnnn, Gmini,Gmaxi avec :
nnnn = le nombre d’implexes multiples
Gmini = le numéro de la première génération d’ancêtres où apparaît l’individu
Gmaxi = le numéro de la dernière génération d’ancêtres où apparaît l’individu

Ensemble de documents, chartes, contrats, actes de foi et d’hommage, donations…, d’une famille ou d’une institution comme une abbaye

Que signifie sur certains actes de mariage la mention « mariés en face d’église » ?
Depuis 1183, l’église catholique reconnaît comme base du sacrement de mariage le seul consentement des époux pour valider un mariage légitime.

Le Concile de Trente (1563), confirme pour l’Europe Catholique, le principe du consentement des époux ; au grand scandale des parents ayant un héritage
à léguer et voulant choisir leurs gendres et brus.
En France, depuis l’Edit de Blois (1576), et parallèlement à l’opposition des Protestants, un mariage catholique, pour être valide, doit être célébré
« en face de notre Sainte mère l’église », béni par un prêtre, accompagné du consentement des parents.
Cette coutume n’a été définitivement adoptée et transmise qu’à partir de 1615, sans jamais été avoir été officiellement entérinée par
l’Eglise catholique de France.
C’est pourquoi depuis lors pratiquement toutes les bénédictions de mariage contiennent la formule « mariés en face de notre Mère Sainte Eglise »
ou encore « et moi, prêtre soussigné, leur ai donné la bénédiction… » ou encore : « telle date, j’ai reçu la célébration du mariage,
en face de la sainte Eglise Catholique de Un tel et Une telle… ».

Bien entendu, le mariage a été célébré à l’intérieur et non pas devant l’église ; la mention « devant l’Eglise » évoque l’institution
de l’Eglise catholique et non pas le bâtiment de l’église paroissiale, signifiant ainsi que le mariage s’est déroulé en présence d’un prêtre
et en respectant les rites canoniques progressivement mis en place par l’Eglise catholique.

La reconnaissance d’un enfant naturel est une déclaration solennelle et volontaire par laquelle, la filiation de l’enfant est indiquée, le plus souvent par un seul parent, et le plus souvent par la mère ; dans ce cas, l’enfant porte le nom de la mère.

La légitimation est un acte qui confère à l’enfant naturel la qualité d’enfant légitime, d’un couple marié légitimement (ce qui implique, et le port du nom du père et le droit d’hériter).

Un enfant naturel peut être reconnu par sa mère et/ou son père, même si ceux-ci ne sont pas mariés : l’enfant est naturel, reconnu et illégitime. Un enfant ne peut être légitimé par le mariage de ses parents que si l’un des deux parents, l’a reconnu auparavant.

Un acte de naissance est déclaré dans les trois jours après l’accouchement. Un acte de reconnaissance est inscrit dans le registre des naissances, plusieurs jours voir plusieurs semaines après l’acte de naissance. Un acte de légitimation est inscrit à la fin du mariage des parents qui déclarent un enfant préalablement né ‘de leurs œuvres’. Une mention est alors inscrite en marge de l’acte de naissance.

Il arrive qu’au moment de se marier, une personne se rende compte que sa mère ne l’a pas officiellement reconnu, alors même qu’elle l’a élevé. La mère doit alors faire un acte de « notoriété » pour compenser cette absence de reconnaissance.

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