Une frazione est, en toponymie, un ensemble de maisons, rattaché administrativement à une commune d’Italie, et qui constitue un habitat groupé à l’intérieur des limites communales, mais séparé et distinct de la commune principale « capoluogoe » et des autres hameaux ou des località.
Le délai de viduité était un délai imposé par le droit aux femmes veuves ou divorcées avant de pouvoir contracter un nouveau mariage, c’est-à-dire de se remarier. Il s’agissait d’éviter les conflits de filiation paternelle concernant les enfants conçus pendant la période au cours de laquelle les précédents époux étaient en instance de divorce.
En France, la loi établissait une durée de trois cent jours, mais cette disposition a été abrogée en 2004. Source Wikipédia
L’ADN autosomique (ou atDNA pour faire court) est héritée par tout le monde dans les 22 autres paires de chromosomes qui ne sont pas les chromosomes sexuels. Ces chromosomes autosomiques sont souvent appelés en abrégé autosomes et sont numérotés de 1 (la plus longue) à 22 (le plus court). Un chromosome de chaque paire vient du père et l’autre de la mère. Tout comme le chromosome X de la mère, tous les 44 de ces chromosomes sont soumis à une recombinaison, ce qui signifie que les segments dans chacun des 22 chromosomes paternels sont attendus pour venir également de deux grands-parents paternels, et ceux dans chacun des 22 chromosomes maternels sont également devrait provenir également de deux grands-parents maternels.En raison de la recombinaison, des segments viennent finalement de tous les ancêtres dans les générations récentes, mais ceux qui sont assez grands pour être de valeur généalogiques remontent à une infime proportion du nombre en augmentation exponentielle des ancêtres dans les générations précédentes. La « valeur généalogique » n’est pas quelque chose qui peut être définie avec précision, mais il sera soutenu que l’ADN autosomique contient quelques centaines de segments de valeur généalogiques par individu. Source pwaldron
Le corps humain est constitué de 23 paires de chromosomes. Chaque chromosome contient de nombreuses informations sous forme de gènes qui expriment les caractères héréditaires d’un individu. Chaque gêne possède deux allèles, l’un provenant de l’information génétique du père, l’autre de celui de la mère. Si les deux allèles de l’individu sont identiques, la caractéristique issue de cet allèle s’exprimera. Si par contre ils sont différents, l’allèle dit dominant s’imposera sur l’autre allèle dit récessif et c’est cet allèle dominant qui donnera sa caractéristique à l’individu. En guise d’exemple, la couleur des yeux : si un enfant hérite d’un allèle « marron » et d’un allèle « bleu », il aura les yeux marrons, car l’allèle marron est dominant par rapport à l’allèle bleu qui est récessif.
Un subclade est une branche mineure des arbres génétiques humaines. Ce peut être soit l’arbre du chromosome Y ou l’arbre mitochondrial. Les subclades sont plus spécifiques à un lieu ou un groupe de population que les branches principales (haplogroupes).
Dans la classification des êtres vivants, un groupe ou taxon est dit polyphylétique lorsque qu’il regroupe des taxons en excluant leur ancêtre commun.
La polyphylie s’oppose ainsi à la monophylie et la paraphylie.
L’anthropologie génétique s’intéresse à la reconstruction de l’histoire du peuplement humain, dans son contexte environnemental, et à la dynamique de l’évolution en utilisant les données de la variabilité génétique des populations humaines. Pour autant, les données issues des analyses en génétique humaine ne sont pas suffisantes pour répondre aux interrogations anthropologiques.
Une des premières approches abordées par l’anthropologie génétique a été de décrire la variabilité génétique existante, soit à l’intérieur des populations, soit entre les populations. Cette approche a contribué dans les années 1960-1990 aux débats de société sur le racisme en montrant que l’essentiel de l’expression de la diversité génétique s’exprime à l’intérieur des populations plutôt qu’entre elles (Lewontin, 1967).
Dans l’étude de l’évolution moléculaire, un haplogroupe est un grand groupe d’haplotypes, qui sont des séries d’allèles situés à des sites spécifiques dans un chromosome.
Pour la génétique humaine, les haplogroupes qu’on étudie généralement sont des haplogroupes du chromosome Y (ADN-Y) et des haplogroupes de l’ADN mitochondrial (ADN mt). On peut employer les deux pour définir les populations génétiques. L’ADN-Y suit seulement la lignée patrilinéaire, alors que l’ADN mt suit seulement la lignée matrilinéaire. Les hommes disposent des deux types de marqueurs génétiques (ADN mitochondrial de la mère et chromosome Y du père); les femmes possèdent uniquement un seul type : l’ADN mitochondrial de la mère. La classification des haplogroupes humains basée sur les marqueurs génétiques a rapidement évolué alors qu’on trouve des nouveaux marqueurs régulièrement.
Pour les protohistoriens et les généalogistes, un haplogroupe peut être perçu également comme un groupe d’humains ayant un même ancêtre commun en lignée patrilinéaire ou matrilinéaire. Cette science est d’ailleurs utilisé par les archéologues pour leurs études. source Wikipedia
voir Sosa étendu
La numérotation de Sosa-Stradonitz est une méthode de numérotation des individus utilisée en généalogie permettant d’identifier par un numéro unique chaque ancêtre dans une généalogie ascendante. Elle fut mise au point par le franciscain et généalogiste Jérôme de Sosa en 1676 dans son ouvrage Noticia de la gran casa de los marqueses de Villafranca, reprenant en cela la méthode publiée à Cologne en 1590 par Michel Eyzinger qui avait déjà utilisé ce système de numérotation.
Cette méthode fut reprise en 1898 par Stephan Kekulé von Stradonitz. Ce généalogiste, fils du chimiste renommé Friedrich Kekulé von Stradonitz, popularise la méthode dans son Ahnentafel-Atlas. Ahnentafeln zu 32 Ahnen der Regenten Europas und ihrer Gemahlinnen, contenant 79 tableaux d’ascendance de souverains européens et de leurs conjoints.
Les anglophones et germanophones connaissent cette méthode sous le nom de système de numérotation Ahnentafel (table des ancêtres) ou méthode Eyzinger ou méthode Sosa ou méthode Sosa-Stradonitz.
La phylogénétique est l’étude des relations de parenté entre êtres vivants : entre individus; entre populations; entre espèces. La phylogénétique permet de reconstituer l’évolution des organismes vivants. source Wikipédia