Archive d’étiquettes pour : haplogroupe

Par Bernard Sécher

L’haplogroupe du chromosome Y le plus fréquent en Europe Occidentale est R1b-M269 dont la fréquence varie de 41% en Allemagne à 83% en Irlande.

Par Bernard Sécher

Ce papier de Richard est un peu ancien (2007): An mtDNA perspective of French genetic variation, mais il donne une vision intéressante de la répartition des différents haplogroupes d’ADN mitochondrial dans notre pays.

Par Bernard Sécher

L’homme moderne est arrivé en Europe il y a environ 45.000 ans. Il y a vécu depuis, notamment pendant le Dernier Maximum Glaciaire entre 25.000 et 19.000 ans lorsque l’Europe était recouverte en grande partie par la glace. Une question importante est comment les fluctuations climatiques ont influencé l’histoire de la population Européenne et à quel point les changements des cultures archéologiques correspondent à des migrations de populations.

Par Bernard Sécher

Le mode de vie Néolithique qui inclue le fermage, la poterie, la pierre polie et le sédentarisme est apparu au Proche-Orient il y a environ 10.000 ans, et s’est ensuite diffusé vers l’Europe

Par Bernard Sécher

Une étude récente des marqueurs génétiques uni-parentaux en Italie comprenant un millier d’individus a révélé que l’haplogroupe mitochondrial HV est celui qui possède les plus anciennes racines en Italie. Cette étude peut être rapprochée d’une autre qui a étudié l’ADN mitochondrial d’un squelette Mésolithique de Sicile vieux de 14.000 ans d’haplogroupe HV1. Ainsi cet haplogroupe semble être une composante cruciale des premières dispersions humaines en Eurasie. Il a cependant été peu étudié jusqu’ici mis à part ses sous-clades H, V et HV4.

La culture de Michelsberg s’étend dans l’ouest de l’Europe Centrale entre 4400 et 3600 av. JC. Les traces d’habitations sont rares et aucun cimetière n’a encore été détecté à l’inverse des cultures précédentes comme la culture de la Poterie Linéaire, la culture de Hinkelstein, ou la culture de Rössen.

L’Italie est un pays fascinant pour les généticiens de population et historiens. Comme l’a dit Metternich en 1847 « L’Italie est seulement une expression géographique ». La péninsule a été unifié par le Piémont deux décennies plus tard, mais la remarque de Metternich détient encore largement vrai aujourd’hui. Il n’y a pas un seul peuple italien, mais une multitude de groupes ethniques et culturels, souvent avec une histoire indépendante de leur propre remontant à l’Antiquité.

Une étude récente des marqueurs génétiques uni-parentaux en Italie comprenant un millier d’individus a révélé que l’haplogroupe mitochondrial HV est celui qui possède les plus anciennes racines en Italie. Cette étude peut être rapprochée d’une autre qui a étudié l’ADN mitochondrial d’un squelette Mésolithique de Sicile vieux de 14.000 ans d’haplogroupe HV1. Ainsi cet haplogroupe semble être une composante cruciale des premières dispersions humaines en Eurasie. Il a cependant été peu étudié jusqu’ici mis à part ses sous-clades H, V et HV4.

Si de nos jours seule l’espèce Homo sapiens est présente sur Terre, les études paléoanthropologiques montrent que plusieurs espèces du genre Homo ont existé par le passé, et sur des périodes de temps qui parfois se recouvrent.

Par Bernard Sécher
Iain Mathieson vient de publier en preprint une seconde version de son papier: Eight thousand years of natural selection in Europe.

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