Archive d’étiquettes pour : Néolithique moyen

Par Bernard Sécher

L’haplogroupe du chromosome Y le plus fréquent en Europe Occidentale est R1b-M269 dont la fréquence varie de 41% en Allemagne à 83% en Irlande.

Par Bernard Sécher

Ce papier de Richard est un peu ancien (2007): An mtDNA perspective of French genetic variation, mais il donne une vision intéressante de la répartition des différents haplogroupes d’ADN mitochondrial dans notre pays.

Par Bernard Sécher

Le Danemark a joué un rôle essentiel dans l’histoire de l’Europe du Nord. Comme les Norvégiens et les Suédois, les Danois sont liés aux excursions Vikings entre les années 793 et 1066. Ensuite entre les années 1397 et 1523 le Danemark, avec la Suède et la Norvège, a formé l’Union de Kalmar.

Par Bernard Sécher

Le mode de vie Néolithique qui inclue le fermage, la poterie, la pierre polie et le sédentarisme est apparu au Proche-Orient il y a environ 10.000 ans, et s’est ensuite diffusé vers l’Europe

Si de nos jours seule l’espèce Homo sapiens est présente sur Terre, les études paléoanthropologiques montrent que plusieurs espèces du genre Homo ont existé par le passé, et sur des périodes de temps qui parfois se recouvrent.

Par Bernard Sécher
Iain Mathieson vient de publier en preprint une seconde version de son papier: Eight thousand years of natural selection in Europe.

Par Bernard Sécher

La transition Néolithique est l’un des événements démographiques les plus importants dans le processus de peuplement de l’Europe, après l’arrivée de l’homme moderne au début du paléolithique supérieur. Les dernières études génétiques ont montré que les premiers fermiers d’Europe Centrale appartenant à la culture rubanée (LBK) vers 5500 av. JC. étaient une population étrangère en provenance du Proche-Orient, qui différait beaucoup de la population locale de chasseurs-cueilleurs.

Par Bernard Sécher

L’analyse du génome sur des squelettes préhistoriques produit une information qui permet d’étudier la préhistoire de manière comparable à l’archéologie et à la linguistique. Il est cependant nécessaire pour cela d’étudier l’ADN d’individus appartenant à de nombreuses cultures archéologiques, mais aussi de multiples individus dans chacune des cultures étudiées.