Archive d’étiquettes pour : Steppes

Par Bernard Sécher

L’homme moderne est arrivé en Europe il y a environ 45.000 ans. Il y a vécu depuis, notamment pendant le Dernier Maximum Glaciaire entre 25.000 et 19.000 ans lorsque l’Europe était recouverte en grande partie par la glace. Une question importante est comment les fluctuations climatiques ont influencé l’histoire de la population Européenne et à quel point les changements des cultures archéologiques correspondent à des migrations de populations.

Les Lombards
Derniers « Barbares » entrés dans le monde romain, ils ont cherché – et réussi – à préserver leur identité, d’une part en mettant par écrit leurs lois nationales au milieu du VIIe siècle, d’autre part en écrivant leur histoire : histoire mythique de leurs origines, au VIIe siècle, alors qu’ils n’ont pas encore complètement abandonné le paganisme ; histoire savante de leur royaume, désormais chrétien, à la fin du VIIIe siècle (Paul Diacre) ; histoire de leur survie dans le Midi après la conquête carolingienne, aux IXe et Xe siècles (Erchempert, Chronique de Salerne). L’archéologie témoigne de plus de leurs déplacements et de leurs contacts aux époques anciennes, tant avec les Romains qu’avec les peuples des steppes…

Si de nos jours seule l’espèce Homo sapiens est présente sur Terre, les études paléoanthropologiques montrent que plusieurs espèces du genre Homo ont existé par le passé, et sur des périodes de temps qui parfois se recouvrent.

Par Bernard Sécher
Iain Mathieson vient de publier en preprint une seconde version de son papier: Eight thousand years of natural selection in Europe.

Par Bernard Sécher

L’origine et l’ancienneté des populations Européennes est sujet à controverse notamment pour savoir si elles descendent principalement des populations Paléolithiques ou Néolithiques d’Europe.

Par Bernard Sécher

L’analyse du génome sur des squelettes préhistoriques produit une information qui permet d’étudier la préhistoire de manière comparable à l’archéologie et à la linguistique. Il est cependant nécessaire pour cela d’étudier l’ADN d’individus appartenant à de nombreuses cultures archéologiques, mais aussi de multiples individus dans chacune des cultures étudiées.